Biographie de René Robin

Biographie de René Robin

René Robin, né le 26 juin 1897 à La Roche-sur-Yon (Vendée) et mort le 5 décembre 1986, à La Roche-sur-Yon, est un peintre, restaurateur et décorateur de monuments français, père de l’artiste Patrice Robin.

René Robin est une figure de la vie artistique vendéenne pendant près d’un demi-siècle. Animé d’un très fort sentiment d’animation de l’art pictural dans ses multiples courants, il est à l’origine du regain de cette activité, pratiquement disparue de sa Vendée qu’il aime tant. En parallèle de sa profession de peintre décorateur nécessaire pour l’entretien de sa famille, il relance, par ses initiatives personnelles puis collectives, la rénovation d’une présence artistique par la découverte et la promotion de jeunes talents qu’il expose dans sa galerie. Il contribue ainsi à la création du Salon de peinture de La Roche-sur-Yon dont il devient le trésorier. Sa vie durant, nombreux sont les témoins de son long parcours artistique.

René Robin est né à La Roche-sur-Yon, Rue Massillon, aujourd’hui rue de Castelnau. Deuxième fils d’une famille d’artisans. Son père, Alphonse Robin, menuisier ébéniste à l’atelier Poiraud, rue Pasteur à La Roche-sur-Yon. Sa mère couturière à domicile. Tout enfant, élève de l’école annexe de l’école normale et ensuite de l’école Saint-Louis, le jeune René se révèle passionné de français et d’histoire, mais surtout de dessin. En 1905 et 1906, il perd successivement ses parents. Élevé par ses grands-parents et par son frère aîné Jean Robin en tant que tuteur. Grâce à son frère Jean, prêtre progressiste pour l’époque, René Robin quitte l’école laïque pour l’enseignement catholique.

Descendant de survivants du Massacre des Lucs-sur-Boulogne du 28 février au 1er mars 1794, son enfance est nourrie des récits que lui fait sa grand-mère du passage des Colonnes infernales dans ce petit village de Vendée. Il en découle un fort sentiment royaliste qui va grandissant avec le temps. Il suit des cours de dessin municipaux en 1909. En 1911, à ses 14 ans au moment de commencer à travailler, René Robin bifurque vers le métier de peintre-décorateur, au service d’un certain Othello Astoul. Dès le début de son apprentissage, ses dons sont remarqués par le fils de son patron, André Astoul artiste peintre et royaliste. Ce dernier qui devient peintre de solide réputation, initie le jeune Robin aux joies de la peinture et de la politique (1).

Il échappe à la guerre de 1914-1918 du fait de problèmes de santé, en particulier une suspicion de tuberculose.

Après 8 ans passés dans l’entreprise Astoul, il la quitte en 1919 pour s’installer à son compte. Sa petite entreprise qu’il démarre vers 22 ans avec l’aide d’un employé, en compte bientôt cinq de plus avec le succès et le développement de ses affaires. Bourreau de travail, il travaille pour ses clients traditionnels dans la journée et consacre une grande partie de ses nuits à peindre et à cultiver son art. Autodidacte, il se forme seul après quelques cours d’initiation le soir et la lecture de nombreux livres d’art. C’est ainsi qu’il s’initie au vernissage et à la restauration de tableaux. Il restaure et décore entre autres plusieurs chapelles vendéennes, celle des Sœurs Victines face à la Vigne-aux-Roses à La Roche-sur-Yon, des Pères de Mille-Souris à Luçon, l’oratoire de la Salette à Martinet (2).

Devenu camelot du roi, René Robin devient chef de file du mouvement monarchique à La Roche-sur-Yon. Il organise le 25 juillet 1925 le gigantesque rassemblement du Mont des Alouettes, auquel participent quelques 75 000 royalistes (100 000 d’après les organisateurs, 50 000 d’après la police). Cette journée mémorable avec la participation du vibrant polémiste de l’Action Française, Léon Daudet, est pour René Robin l’heure des premières désillusions: le président du mouvement et nombre de hobereaux qui auraient dû être présents ce jour-là, ont préféré aller à la chasse aux blaireaux (3).

Christ en croix - René Robin
Crucifixion – René Robin (1949)

René Robin fait preuve tout au long de sa carrière d’un caractère fort et déterminé, animé par des sentiments de loyauté et d’honnêteté, qu’il conserve toute sa vie. Celle-ci est orientée et dirigée sans cesse par ses convictions tant religieuses que politiques. La vie de René Robin est également marquée par un épisode dont on ne peut saisir la portée qu’en replaçant les faits dans leur époque: en 1928, il se rend à Pons, en Charente-Maritime, en compagnie de 200 camelots du roi pour commettre un attentat contre la statue érigée à la mémoire d’Émile Combes, président du Conseil lors des lois de séparation de l’église et de l’état en 1905. Se présentant comme une délégation des jeunesses laïques, ils apportent au pied du monument une gerbe, d’où l’un d’eux sort un marteau et brise le nez de l’imposante statue de bronze. L’un des participants est alors blessé par le tir d’un policier. L’enquête reste sans suite (4).

En 1930, après avoir découvert la science du vernissage et de la restauration des tableaux (ce qui lui vaudra de se voir confier la remise en état de plusieurs œuvres de Paul Baudry), René Robin rachète l’ancienne droguerie Laurenceau, rue de Verdun à La Roche-sur-Yon. Le 13 juin 1932, il épouse Jeanne Thibaud et ensemble ils fondent une famille de huit enfants. Son épouse se dévoue sa vie durant afin de lui permettre de se consacrer totalement à ses activités, tant politiques, que professionnelles et artistiques. Gardienne vigilante, elle fait barrage à tout ce qui peut le déranger.

L’art, la peinture en particulier tient une place importante dans son existence. Il acquiert une grande connaissance artistique et son goût inné de l’esthétique est reconnu de tous. À ses débuts, il s’adonne à la peinture à l’huile, paysages, scènes religieuses, natures mortes, mais il excelle surtout dans le dessin qu’il travaille avec une grande et incontestable originalité. Il pratique aussi et surtout le pastel, et cela jusqu’à ses derniers jours.

Si le talent de René Robin comme pastelliste est reconnu par les critiques d’art, il l’est aussi par les peintres de la région adonnés à cette technique. Sa vision reste juste pour « enlever » un ciel d’orage sur un champ de blé, recréant ainsi, après un travail acharné l’atmosphère de ces paysages vendéens qu’il affectionne tout particulièrement. René Robin revient au pastel en 1965, matière qu’il apprécie beaucoup depuis son adolescence. Sa main préfère le contact direct avec le papier plutôt que de ne rien ressentir par le prolongement du pinceau. Selon lui, un pastel ne vieillit pas: « Au Louvre, disait-il, un pastel de Quentin de la tour sur Madame de Pompadour a gardé une fraîcheur qu’on le daterait de la veille, par contre, un portrait à l’huile sur le même sujet, a noirci. » (5)

 René Robin peint le ciel que les hommes n’ont pas réussi à abîmer

Valentin Roussière

Un journaliste lui demandait un jour pourquoi il ne réalisait que des paysages de Vendée. La réponse de René Robin fut la suivante: « J’ai passé dans le Languedoc bien des jours de repos où je n’ai créé que du mauvais, car seule la nature du pays natal me met en état de grâce avec ses cours de ferme, ses mares qui reflètent le ciel et ses grands horizons. Sentiments? Sans doute, mais aussi intuition, car la création, placée dans la solitude, voyage pleinement dans les méandres de mon âme, avec humilité et une certaine discrétion. Je ne suis pas un artiste, mais j’essaie d’être artiste« (6).

Amoureux de l’art et de la politique, plus dessinateur que peintre d’ailleurs, il joue un rôle important à La Roche-sur-Yon et en Vendée, pour le rayonnement de l’art pictural. Il est ainsi l’un des fondateur de ce que l’on a appelé l’École de peinture de La Roche-sur-Yon, en particulier dans le cadre du Salon yonnais créé par lui et quelques amis en 1927 dans lequel il expose lui-même six pastels. Ce salon de peinture annuel organisé au musée de la Roche sur Yon exposera de très nombreux artistes vendéens tout au long de son existence.

Selon Christophe Vital, Conservateur en Chef des Musées de Vendée, René Robin était même un « leader » de ce qui est désormais communément connu comme l’Ecole de La Roche sur Yon, née entre les deux guerres et qui s’est développée ensuite (19).

René Robin se plonge en effet dans l’étude des grands Maîtres de la peinture. Il acquiert une immense culture qui lui permet de disserter à travers les œuvres des plus grands peintres. Il expose à la galerie du Phare à La Roche-sur-Yon en 1943, pour le cent-cinquantenaire du soulèvement vendéen, avec les peintres André Astoul, Auguste Goichon, Gaston Dolbeau et Jean Droillard. René Robin, qui se révèle à cette exposition, a fait plusieurs peintures remarquables: le général royaliste Bonchamps relevé sur le champ de bataille, un vendéen expirant, un volontaire de la grande armée catholique et royale, et le magistral dessin d’un vendéen criant sa foi (20).

La Galerie Robin

En 1958, il ouvre rue de Verdun à La Roche sur Yon, à côté de sa droguerie et son atelier d’encadrement, une Galerie de peinture qu’il anime avec autorité certes, mais aussi et surtout avec une grande générosité vis-à-vis des peintres qu’il expose de façon bénévole. C’est dans cet esprit de mécénat que les artistes de la région exposent chez René Robin. Des peintres (certains jeunes encore) mais à la notoriété déjà confirmée, deviennent ses amis tels que Albert Deman, Henry Simon, Gaston Dolbeau ou André-Charles Nauleau. Suivis par Paul Dauce, Joël Dabin, Roger Ducrot, Jean Bouron et beaucoup d’autres. Comme le dit un journaliste en 1986, René Robin « appelle tous les peintres vendéens et régionaux par leur prénom. » (3)

Il fournit même gracieusement à Gaston Chaissac des chutes de papiers peints provenant de sa droguerie que celui-ci utilisera dans de nombreuses peintures, même s’il ne l’a jamais exposé dans sa galerie. À tous ces peintres, il apporte son regard et son sens critique sur ce monde de l’art qui lui est parfaitement familier (7).

René Robin
René Robin en 1980

La galerie Robin, la première galerie de peinture de La Roche-Sur-Yon, va acquérir un rayonnement qui va aller bien au-delà du département de la Vendée, en particulier pour de nombreux artistes vendéens que René Robin va s’attacher à faire découvrir au rythme d’une demi-douzaine d’expositions par an jusqu’au début des années 1970. Les amateurs d’Art trouvent quant à eux, en René Robin, un interlocuteur avisé et éclairé qui sait leur parler peinture. Au cours des années 1960, il encourage son gendre, futur Raphaël Toussaint, à se consacrer à l’art. Le peintre naïf Raphaël Toussaint se souviendra toute sa vie de son soutien et le fera figurer dans tous ses tableaux, avec son pull-over rouge et son béret noir.

Le peintre sablais Jacques Simon se souvenait également de René Robin, qui descendait dans sa galerie depuis l’étage pour recevoir les visiteurs, « en chaussons couverts de pastel. »

Un des fils de René Robin, Patrice Robin, a d’abord repris la galerie Robin au début des années 1970, puis est devenu comme son père peintre, restaurateur et décorateur (8).

Artiste lui-même, René Robin s’est très peu exposé dans sa galerie. Il reste détaché de ces contingences. Il juge les honneurs futiles et inutiles. René Robin fait pleinement partie de ce que l’on a appelé « les peintres du Bocage », c’est-à-dire l’école de La Roche-sur-Yon. Pour lui, le succès se gagne à force de réflexion et de métier. La réflexion, il la développe au cours de veillées innombrables avec des amis comme André Astoul, soit dans son atelier de la rue de Verdun, soit dans un grenier d’Aubigny. Il entretient également cette réflexion à la façon d’Aristote par la marche, en particulier lors de ses trajets de La Roche-sur-Yon à Venansault (9).

En 1977, son fils Patrice Robin expose René Robin à la galerie qu’il a créé rue de Verdun, au lendemain de la guerre. René Robin, bien connu des yonnais, avait très peu exposé dans la galerie Robin, mais avait reçu quantité d’autres peintres. René Robin présente ainsi lors de cette exposition ses pastels du bocage vendéen. Lui qui a si souvent exposé ses amis les peintres, se livre pendant sa retraite à sa raison de vivre, la peinture, et s’offre enfin au regard du public. Selon un article de presse relatant cette exposition, « la nature profonde de cet artiste se révèle. René Robin a cheminé bonhomement dans son pays natal et a tenté de traduire les mouvements et les souffles de cette contrée. Des amis l’ont quitté. Il oriente nombre de jeunes. Il témoigne encore solidement et garde la main sûre. Né à la fin du XIXe siècle, il s’enracine dans cette Vendée chérie et y puise son inspiration. Ses pastels prouvent une sensibilité toujours à fleur de peau. » (10).

Son rôle sur le plan de l’encouragement artistique est très apprécié dans son département de la Vendée. Il relance l’art de la toile qui est quelque peu tombé, encourageant et conseillant ceux qui, ayant les qualités nécessaires, veulent s’y adonner. Il se forme autour de lui un petit cercle. Des talents prennent naissance et s’affirment. René Robin, entouré de son épouse, de ses enfants, de ses proches et des amis peintres de la Vendée et de diverses personnalités dont monsieur Paul Caillaud, député-maire, reçoit l’hommage qu’il mérite, de la bouche d’une jeune professeur yonnaise, madame Harchoux (11).

Dans sa retraite, au troisième étage de la rue de Verdun, René Robin s’est reconstitué un monde, avec ses pastels et ses dessins, où il revit la paix et la solitude du Bocage environnant, interprétation de la Vendée qu’il va bientôt exposer au cours d’une exposition que va présenter son ami Henry Simon, si ouvert lui aussi, à la pénétration des paysages.

Quatre-vingt un ans, en 1979, une canne fleur-de-lys qui projette son ombre sur un grand portrait de Charette qu’il a réalisé, René Robin ne laisse pas de doute sur ses engagements de jeunesse. « Je suis royaliste et je ne m’en cache pas… » affirme t-il sur un ton qui ne prête pas à l’humour. Il faut attendre qu’il nous parle de sa chère grand’mère pour remonter à la source de ses prises de position. « Ma grand’mère, issue des Lucs-sur-Boulogne, m’a toujours élevé dans le respect des petits martyrs brûlés par les Colonnes infernales » (12).

Du 24 juillet au 12 septembre 1981, une exposition est ouverte au Salon de La Roche-sur-Yon en l’honneur de quatre peintres de la Vendée, Benjamin Rabier, André Astoul, Paul Baudry et René Robin, le seul encore vivant, dont la galerie est un lieu de regroupement de jeunes et moins jeunes talents. « Cet hommage rendu à ces hommes dévoués est bien mérité » estime le journaliste François Dauvergne (13).

René Robin apporte son soutien et un dévouement à l’histoire de la peinture à La Roche-sur-Yon selon les peintres présents à son exposition du 8 au 30 octobre 1982 (14). René Robin est représenté à cette exposition par quelques-unes de ses œuvres. Cela peut-être considéré comme un événement à double titre. D’une part, cet artiste ne s’expose que très rarement, préférant laisser la place à tous les peintres que sa galerie a attiré, et d’autre part, il est le témoin de la vie artistique de La Roche-sur-Yon depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Le peintre Henry Simon est là pour dire mieux que personne, qui est René Robin: peu soucieux des modes et du snobisme, il n’a de cesse de cerner ce qui, en peinture, est authentique communication. Son œuvre est le reflet de ses préoccupations esthétiques et l’harmonieux langage d’un esprit équilibré. L’art de René Robin est désintéressé. Henry Simon parle à des convaincus qui ont tous connu et bénéficié en toute amitié de ce désintéressement (15).

En 1982, René Robin n’est pas au vernissage de son exposition à la galerie B3. Physiquement parlant du moins, car ses pastels, sa femme, sa famille et ses amis réunis pour l’occasion, restituent chacun à sa façon sa présence. Quand bien même son accord donné à l’exposition est un événement, toute une vie portée par la peinture lui donnent le droit de s’abriter de l’émotion dans le calme de son appartement, à l’heure où il n’est question que de lui.

René Robin remise pour de bon ses pinceaux en 1986. La mort l’emporte à La Roche-sur-Yon, dans sa quatre vingt dixième année. Personnage que René Robin, à qui beaucoup de peintres vendéens doivent d’avoir pu se faire connaître (16).

Catholique intransigeant, Royaliste de conviction, René Robin incarne une certaine image de la Vendée. Militant désintéressé car sincère, ce yonnais de vieille souche est aussi un homme d’avant garde. C’est à lui que revient le mérite d’avoir créé dans la cité napoléonienne, la première galerie de peinture. C’est à lui que revient l’insigne honneur d’avoir formé la jeune escouade des futurs peintres yonnais parmi lesquels Albert Deman, pour ne citer que l’un des plus illustres (17).

En 1988, Raphaël Toussaint, élève et gendre de René Robin, apporte son témoignage: « Sa peinture est à l’image de son caractère. Forte et sensible, délicate et vigoureuse, harmonieuse et toujours bien construite. » Ses pastels qu’il travaille jusqu’à la fin de sa vie sont sûrement les œuvres maîtresses de cet artiste méconnu de ses contemporains. Sa forte personnalité lui a fait travailler le pastel avec vigueur. Ce matériau, employé avec délicatesse au XVIIIe siècle, devient entre ses mains un procédé de création tout en vibrations vigoureuses et enlevées. L’œuvre de René Robin provoque l’émotion parce qu’elle est belle et que son langage est celui du cœur (18).

Principales expositions de René Robin

Salon Yonnais, La Roche-sur-Yon, 1927
Galerie Lhote, La Rochelle, juin 1941
Galerie Mignon-Massart, Nantes, mars 1942
Galerie du Phare, Cent-cinquantenaire du soulèvement vendéen, La Roche-sur-Yon, 1943
Galerie Robin, La Roche-sur-Yon, février 1974
Galerie A. Ravez, Fontenay-le-Comte, avril 1975
Galerie Les Ormeaux, Challans, octobre 1975
Galerie Robin, La Roche-sur-Yon, mars 1977
Salon de La Roche-sur-Yon, juillet-septembre 1981
Galerie B3, La Roche-sur-Yon, octobre 1982

Notes

(1) Hervé Louboutin, « René Robin à La Roche-sur-Yon », Vendée/Presse-Océan,‎ octobre 1982, p. 3
(2) Y. Bechet, « René Robin-Succession de talents », Presse matin/éditions Vendée,‎ octobre 1982, p. 4
(3) Pierre-Marie Hériaud, « On ne cède pas un tableau comme on vend un chou-fleur », Presse-Océan,‎ août 1986, p. 7
(4) Hervé Louboutin, « Le nez de Combes en 1928 », Presse-Océan, édition Vendée,‎ janvier 1979, p. 5
(5) Valentin Roussière, « René Robin peint le ciel que les hommes n’ont pas réussi à abîmer », Presse-Océan/éditions Vendée,‎ janvier 1974, p. 2
(6) Valentin Roussière, « René Robin peint le ciel que les hommes n’ont pas réussi à abîmer », Presse-Océan/éditions Vendée,‎ janvier 1974, p. 3
(7) Y. Bechet, « René Robin, ami des peintres », Vendée matin,‎ juin 1982, p. 7
(8) Site internet de Patrice Robin
(9) Valentin Roussière, « L’aventure de René Robin, peintre du bocage », Presse-Océan-édition Vendée,‎ février 1973, p. 7
(10) Valentin Roussière, « René Robin: Un peintre enraciné dans le bocage », Presse-Océan, édition Vendée,‎ mars 1977, p. 4
(11) Valentin Roussière, « «Ciel et terre de Vendée» René Robin expose à sa galerie », Presse-Océan, édition Vendée,‎ mars 1977, p. 5
(12) Hervé Louboutin, « René Robin, 81 ans de fidélité à la royauté et à la peinture », Vendée/Presse-Océan,‎ janvier 1979, p. 2
(13) François Dauvergne, « Hommage à quatre grands Yonnais », Ouest-France,‎ août 1981, p. 9
(14) D.L, « René Robin à la galerie B3-Un événement.! », Ouest-France-Arts et spectacles,‎ octobre 1982, p. 3
(15) Y. Bechet, « René Robin, artisan du rayonnement de l’art pictural en Vendée », Vendée matin,‎ octobre 1982, p. 3
(16) Eugène Brulé, « Nécrologie – René Robin, l’ami des peintres », Ouest-France,‎ décembre 1986, p. 2
(17) Valentin Roussière, « Nécrologie – Adieu René Robin », Presse-Océan, édition Vendée,‎ décembre 1986, p. 5
(18) Raphaël Toussaint et René Robin exposent au Poiré-sur-Vie 1988, p. 18
(19) Jacques Golly, « Rue de la forêt », 2008
(20) La Dépêche vendéenne, 20 juin 1943.

Autres pages

Page vue 243 fois
Share via
Copy link