A partir de 2014, Patrice Robin se lance dans un vaste projet intitulé « Complexité d’une île » qui, en trois périodes, finira par regrouper une quarantaine d’œuvres.
Tout au long de ce travail, Patrice Robin s’attache à « occuper l’espace » de manière de plus en plus serrée. Dans le cadre d’un entretien avec un journaliste en 2014, il précise son travail qu’il définit comme « une figuration abstractive, entre rêve et regard, j’aime l’occupation de l’espace. »
Cette préoccupation pour « l’occupation de l’espace » n’est pas sans rappeler le travail de Roman Opalka qui, à partir de 1965 et jusqu’à sa mort en 2011, inscrit de manière répétitive la progression numérique élémentaire de 1 à l’infini sur des toiles de même dimensions.



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>> Tentative de Possibilité d’une île
>> Complexité d’une île
>> Complexité d’une île II
>> Complexité d’une île III
>> Expo: la complexité d’une île